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Par Dramaqueen le 27 Septembre 2015 à 15:42
L for Love, L for Lies 我的最愛
Genre: Romance
Année: 2008
Réalisateur: Patrick Kong
Cast :
Bo Keung Kiki Jun
Stephy Tang Alex Fong Alice Tzeng Stephen Wong
Synopsis: Bo est une jeune femme vraiment desespérée. Quelques mois plus tôt, elle avait tout: un petit ami, et un restaurant spécialisé dans les desserts qu'ils tenaient ensemble. Mais tout s'est envolé lorsqu'une ancienne camarade de classe est réapparue dans sa vie et s'est, pour une raison obscure, fixé l'objectif de rendre Bo malheureuse.Aussi, lorsque celle-ci rencontre par hasard Keung, un ancien voisin devenu arnaqueur professionnel, elle y voit l'opportunité de se venger de Kiki. Mais les apparences sont parfois trompeuses et la naïve Bo risque de se brûler les ailes...
Mon avis:
Mon premier film en cantonais! Il m'a fallu un petit moment pour m'habituer à cette langue que je ne connaissais pas et qui est assez différente du mandarin.
Comme son nom l'indique L for Love, L for Lies est un film qui parle d'amour et de trahison. D'ailleurs j'ai l'impression que le réalisateur n'est pas heureux en amour... En effet, c'est le troisième de ses films que j'ai l'occasion de voir et ils sont tous de la même trempe. Autrement dit, toutes les relations de couple sont vouées à l'échec et la plupart des hommes sont destinés à tromper leur copine. C'est limite violent...
L'histoire n'est pas super originale mais sympa. On est de tout coeur avec Ah Bo, la gentille fille (un peu trop d'ailleurs), pour qu'elle en mette plein la tête à cette garce de Kiki. Imaginez quelqu'un qui vous ruine la vie juste parce ça l'éclate. Ça doit être très frustrant et j'ai eu envie de zigouiller la Kiki à plusieurs reprises... Alice Tzeng est particulièrement convaincante dans ce rôle.
Par contre j'ai eu un véritable coup de coeur pour le couple Stephy Tang/ Alex Fong. Je ne sais pas pourquoi il y a des couples à l'écran qui me bottent plus que d'autres et celui-ci en fait partie. Ce qui m'amène à me demander si vous avez vous aussi des couples d'acteurs chouchous ou des couples que vous aimeriez bien voir réunis à l'écran?
Enfin bref, L for Love, L for Lies est un film marrant par moments (la scène du banquier dont les lunettes n'ont pas de verres), ridicule à d'autres (certaines scènes en disent tellement qu'elles deviennent gênantes) mais aussi parfois poignant (je pense notamment à la dernière confrontation Bo/Kiki)
Le film comprend aussi une histoire secondaire: celle de la meilleur amie de Bo, Man (Leila Tong) qui en raison de son passé amoureux malheureux se comporte de façon absolument horrible avec son copain Fung (Terry Yu) qui se console à temps partiel dans les bras de sa belle collègue...
Côté acteurs, c'est Alex Fong qui m'a le plus impressionnée en arnaqueur qui est constamment tiraillé entre le bien et le mal. J'ai bien aimé la manière dont son côté sombre est exploré.
En bref, le film est sympa, bien que sa morale soit légèrement déprimante: les choses ne sont pas toujours ce qu'elles paraissent (souvent elles sont pires).
Il y a cependant une chose qui m'éclate chez Patrick Kong, c'est qu'il adore finir ses films brutalement par une révélation choquante. Il fait le même coup dans Marriage with a Fool et Love is not All Around. Oh, et il adore recycler ses acteurs. On retrouve à peu près les mêmes dans ces trois films.
J'ai bien l'intention de visionner plus de films en provenance d'Hong Kong, surtout le cinéma d'action qui fait sa réputation. Mais pour les comédies romantiques, je devrais peut-être m'en tenir à la Corée.
Dernier point, j'ai adoré les morceaux instrumentaux de l'OST. Mais pas moyen de la trouver où que ce soit
Trailer:
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Par Dramaqueen le 27 Septembre 2015 à 15:41
Jeux interdits
Genre: Drame
Année: 1952
Réalisateur: René ClémentCast:
Michel Dollé Paulette
Georges Poujouly Brigitte FosseySynopsis: Pendant la Seconde Guerre Mondiale, la petite Paulette, 5 ans, perd ses parents, tués par un bombardement alors qu'ils fuyaient Paris. Après avoir erré quelques temps avec son petit chien mort sans ses bras, elle rencontre Michel, 10 ans, fils de fermier. Il convainc sa famille de recueillir la petite fille, et très vite les deux enfants vont devenir inséparables. Michel aide Paulette à enterrer son chiot, et cela leur donne l'idée de créer un cimetière d'animaux. Michel se met alors à voler les ornements de l'église du village, semant la suspicion au sein de ses habitants...
Mon avis:
A la base, je n'avais pas l'intention de parler de cinéma occidental sur ce blog. Déjà ce n'est pas le sujet et ensuite ma liste d'articles à écrire devient vraiment énorme. Mais ce film m'a tellement émue qu'il fallait absolument que je partage.
Tout a commencé par un repas de famille dominical. Mes parents, d'humeur nostalgique, se sont mis à "youtuber" les génériques de leur enfance. Au moment où retentit le thème oh combien célèbre de Jeux interdits, tout le monde s'extasie, sauf moi -> "Quoiiiiiii, tu ne l'as pas vuuu?"
Soucieuse de combler ce vide dramatique, je me suis lancée le soir même. C'est honnêtement l'un des plus beaux hymnes à l'enfance que j'ai pu voir. Le film date des années 50 et pourtant il n'a pas pris une ride. On pourrait facilement le transposer dans le contexte d'une guerre actuelle.
La relation entre Michel et Paulette est tellement pure et vraie qu'on les prend tout de suite en affection. J'ai adoré la manière dont il est tout fier de lui d'avoir trouvé la petite fille dont il veut d'ailleurs prendre soin tout seul. On souhaiterait qu'il ne leur arrive rien . Malheureusement, ils sont rattrapés bien vite par les adultes et leur monde souillé.J'ai trouvé que le réalisateur dressait un portrait fidèle de l'enfance: son rapport à Dieu, à la mort, à la guerre aux adultes et à leurs problèmes. Les deux jeunes acteurs sont particulièrement émouvants. C'est ça que j'aime chez les enfants-acteurs: chez eux, pas de surjeu, juste le naturel.
A la fin du film on ne peut s'empêcher de pleurer l'innocence, qui bien souvent est perdue plus tôt qu'elle ne le devrait.En voyant ces petites bouilles, j'ai du mal à imaginer que Brigitte Fossey pourrait être ma grand-mère. Quant à Georges Poujouly, il est décédé il y a 10 ans. Mais ils auront profondément marqué l'histoire du cinéma français. Jeux interdits est un grand classique, d'ailleurs vainqueur du Lion d'Or à la Mostra de Venise en 1952, et j'ai eu bien tort d'attendre si longtemps avant de le regarder. Alors si vous ne l'avez pas encore vu (à moins que je sois al seule), c'est un ordre: Foncez!
Pour les afficionados, il existe un début et une fin alternatifs coupés au montage. Ça remonte tout de suite le moral.
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Par Dramaqueen le 27 Septembre 2015 à 15:37
Prince of Tears 泪王子
Genre: Drame
Année: 2009
Réalisateur: YonfanCast:
Sun Han Sun Sun Ping Ding Liu Ou Yang
Joseph Chang Oceane Zhu Wing Fan Terri Kwan
Synopsis: Dans les années 50, à Taïwan, Sun Han Sun, pilote dans l'armée de l'air, vit avec sa femme et ses deux filles Li et Zhou dans un village réservé aux militaires. Mais sa vie bascule lorsque le couple est accusé d'espionner pour le compte des communistes par le gouvernement nationaliste. Ils sont arrêtés et leurs filles séparées...
Mon avis:
Oh le beau film! Le trailer m'a tout de suite attirée ainsi que l'affiche (l'air de rien ça fait beaucoup). Et puis, j'aime beaucoup les films dont l'action se déroule dans un contexte politique et historique donnés. Prince of Tears m'a permis d'en connaître un peu plus sur Taïwan et son passé.
Je suis désolée pour ça mais je vais être obligée de faire un petit cours de rattrapage sur l'histoire de Taïwan parce que sinon mon charabia sera vraiment imcompréhensible.
En 1945, après 50 ans d'occupation japonaise, l'île de Taïwan, alors appelée Formose, est restituée à la République de Chine. Les Taïwanais déchantent vite cependant que leurs richesses sont épuisées par l'effort de guerre contre les communistes sur le continent. La cohabitation sino-taïwanaise se passe tellement mal qu'en 1947 éclatent de violentes émeutes réprimées de façon sanglante.
En 1949, le général Tchang Kai-chek de replie sur Taïwan après avoir été battu par les communistes en Chine continentale. En 1949 la loi martiale est prononcée et un processsus d"assimilation des Taïwanais aux Chinois est entamé. Tout mouvement de protestation est étouffé. C'est le début d'une Terreur blanche qui durera plus d'un quart de siècle.
Voilà dans quel contexte évoluent les personnages de Prince of Tears. Les quatre adultes sont liés de manière inextricable bien qu'on ne nous révèle pas tous les détails. Il faut pratiquer la déduction et parfois ce n'est pas suffisant. Il faut dire que la quasi-totalité du film est racontée du point de vue des filles de Han Sun et Ping. Autrement dit, on n'a accès aux secrets des adultes que par les bribes de conversation qu'elles surprennent. Et puis il faut savoir que ce film est tiré du témoignage d'enfance d'une amie de Yonfan. On peut donc supposer que les flous du scénario font écho à ceux de sa mémoire, ou du moins à ce dont elle avait connaissance.
Petit topo sur les quatre personnages principaux:
- Sun Han Sun est militaire sans histoires qui vit avec une famille unie. Mais à deux reprises on apprend qu'il nest pas un nationaliste fanatique et qu'il n'hésite pas à braver les interdits du Parti quand il le faut. Bon alors là on arrête d'être sérieux une minute pour dire: Joseph Changgggg ! Il est tout simplement divin -fin de la parenthèse.
- Ping, l'épouse d'Han Sun a tout de l'épouse aimante. Mais elle semble avoir un passé chargé ce qu'elle trahit lors de ses rencontres avec Liu Ou Yang qu'elle parait à la fois aimer et redouter. C'est seulement le deuxième film dela newbie Oceane Zhu et je trouve qu'elle s'en sort plutôt bien, même si j'ai préféré le jeu de Terri Kwan.
- Ding est un ami de la famille Han. Il est boiteux et porte une mystérieuse cicatrice sur le visage. D'un naturel secret et renfermé, il semble envier la vie d'Han Sun et arborer des sentiments amoureux pour Ping. Mon dieu, Wing Fan! J'ai failli ne pas le reconnaître. Il est vraiment très bon dans ce rôle: Il arrive à rendre Ding détestable et pitoyable à la fois.
- Quant à Ou Yang, elle est l'épouse d'un général du gouvernement nationaliste. C'est une femme élégant et raffinée qui semble d'un premier dans une bulle par rapport à ce qu'il se passe autour d'elle, mais il en est en réalité bien autrement. J'ai trouvé Terri Kwan superbe dans ce rôle très poétique.
Il y a une chose qui est remarquable dans ce film, c'est la photographie.Les paysages sont sublimes et la couleur sépia qui baigne les scènes convient parfaitement à l'ambiance et à l'époque. La beauté du paysage est d'ailleurs en opposition complète avec les horreurs qui s'y déroulent.
Le dénouement est cependant un peu trouble. Après le point de vue des enfants on a droit à une dizaine de minutes sur les adultes qui, tout en apportant les réponses à certaines questions nous embrouillent encore plus.
Le tout est narré par le réalisateur lui-même. Les narrations peuvent parfois comporter un aspect redondant mais ici ce n'est pas du tout le cas. J'adore le fait que tout l'histoire est racontée du point de vue de Li et Zhou, ça donne une aura particulière au film.
Bref Prince of Tears est un film qui mérite d'être vu. D'ailleurs je me demande bien pourquoi je regarde si peu de films taïwanais. Il va falloir y remédier... Sur ce je vous laisse, car Overblog faisant encore des caprices je viens d'écrire cet article à deux reprises et je suis gavée!
Trailer:
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Par Dramaqueen le 27 Septembre 2015 à 15:36
First Love สิ่งเล็กเล็ก ที่เรียกว่า..รัก
Genre: Comédie romantique
Année: 2010Cast:
Nam P'Shone
Pimchanok Luewisedpaiboon Mario MaurerSynopsis: Nam, 14 ans, est une lycéenne au physique ingrat, désespérément amoureuse du garçon le plus populaire de l'école, le beau et talentueux P'Shone. Seulement voilà, elle n'est pas la seule à s'intéresser à lui, et la concurrence est rude.
N'osant pas lui avouer directement son amour, la timide Nam choisit la voie de l'auto-perfectionnement. Déterminée, à devenir plus belle et plus intelligente pour que le garçon de ses rêves la remarque, elle va, avec l'aide de ses trois meilleures copines, tenter le tout pour le tout....
Mon avis:
Trooop mignon!!!! La Thaïlande et moi étions parties du mauvais pied à cause des lakorns (dramas thaï) Terriblement gnangnan, de qualité audio et visuelle déplorable, je n'ai pas accroché du tout. Mais le truc, c'est qu'il y a deux choses qui peuvent me faire mourir d'envie de voir un drama/film (d'où le grand nombre de dramas en cours sur ma liste): les articles élogieux, et les vidéos de talentueuses MV makers sur Youtube. Ici c'est une vidéo de maifantasy qui m'a fait craquer (voir ci-dessous).
Les histoires de coeur d'une lycéenne, ce n'est pas très original, me direz-vous, mais j'ai absolument adoré la manière dont l'histoire est racontée. C'est simple, je me suis retrouvée transportée 10 ans en arrière, avec mon garçon parfait de l'école, et mon groupe de copines inséparables. Et que c'est bon! Hyperventiler quand on nous dit qu' "IL" nous a jeté un regard, tomber en pâmoison lorsqu' "IL" nous adresse la parole, même si c'est juste pour emprunter un bouquin (hum ça sent le vécu...)
Les personnages sont super bien écrits et leurs réactions réalistes. On a droit à des moments particulièrement comiques (j'ai adoré quand Nam, tente de se blanchir la peau mais obtient un résultat jaunâtre et se retrouve en face de son prince charmant hihi) et d'autres plus émouvants. La bande de filles est très attachante, et leur prof d'anglais m'a beaucoup fait rire avec ses tribulations amoureuses.
L'adolescence, le premier coup de coeur, le premier chagrin d'amour et l'amitié sont autant de thèmes que First Love aborde avec humour et délicatesse. Et j'ai adoré le petit "retournement de situation" vers la fin du film ♥
Niveau acteurs, Mario Maurer a un charme indéniable, et on peut facilement comprendre pourquoi notre héroïne craque. Pimchanok Luewisedpaiboon est tout mignonne et particulièrement émouvante. On a du mal à le voir au début sous la tonne de maquillage utilisée pour l'enlaidir, mais elle est très jolie. Je m'en tiens là pour le cast parce que vous avez vu la taille des noms?!? (celui du réalisateur faisait la largeur de la page) Mais je n'ai trouvé personne mauvais.
L'OST est également très sympa. S'il y a une chose que je peux reprocher à First Love, c'est probablement sa dernière scène que j'ai trouvé bâclée. Et c'est bien dommage de terminer le film sur une scène médiocre.
En tout cas, si comme moi vous avez une petit penchant pour les jolies romances (sans aucune maladie incurable à l'horizon, promis) n'hésitez pas à vous laisser tenter, je pense que vous ne le regretterez pas!
La fameuse vidéo de maifantasy (SPOILERS):
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Par Dramaqueen le 27 Septembre 2015 à 15:35
Bangkok Traffic Love Story รถไฟฟ้า...มาหานะเธอ
Genre: Comédie romantique
Année: 2009
Réalisateur: Adisorn TresirikasemCast:
Mei Li Lung
Sirin Horwang Theeradeth WongpuapanSynopsis: Mei Li a bientôt 30 ans. Pas très motivée au travail et célibataire, elle se rend compte au mariage de sa meilleure amie que son bilan de vie n'est pas très glorieux. En rentrant chez elle, complètement ivre et déprimée, elle perd le contrôle de sa voiture et atterit devant un groupe d'ouvrier ébahis. L'un deux, Lung, lui porte immédiatement secours. Pour Mei Li, c'et le coup de foudre. Bien déterminée à revoir le jeune homme, elle commence à provoquer leurs rencontres. Mais les choses ne se passent pas exactement comme prévues. Entre des gaffes à répétitions, et une "amie" qui se met en travers de son chemin, Mei Li n'a jamais été aussi loin du but...
Mon avis:
Après avoir été réconciliée avec le cinéma thai par le visionnage de First Love, j'ai décidé de ne pas m'arrêter là. Je me suis donc mise en quête d'une comédie romantique pour un dimanche après-midi détente et le nom qui revenait le plus souvent dans les forums était celui de Bangkok Traffic Love Story. En fan de la première heure de Bridget Jones, je ne pouvais pas décemment rater une histoire sur une trentenaire qui cherche l'amour.
Au final, je suis un peu plus partagée que pour First Love. Peut-être est-ce parce qu'il m'a moins émue ou bien tout simplement parce que l'effet de nouveauté est passé, toujours est-il que j'ai trouvé quelques défauts à ce film. Celui qui m'a vraiment gênée, c'est cette image du Prince Charmant que le film pose.
C'est le type abslument parfait qui dit tout ce qu'il faut quand il le faut et qui est un modèle de gentillesse et un gentleman par dessus le marché. Arrêtez-moi si vous avez la preuve du contraire mais... Ça n'existe pas. C'était mignon dans First Love parce que l'héroïne avait 14 ans et que c'est ce à quoi on rêve à cet âge ça, mais dans le cas d'une trentenaire, je trouve ça pour le moins nocif.J'ai vu un film coréen sur le même thème il n'y a pas longtemps et j'ai plus apprécié le développement: La fille adule un homme en secret depuis l'adolescence et puis miracle, elle finit par être directement en contact avec lui. Mais elle finit par se rendre compte que c'est de l'image qu'elle se faisait de lui dont elle était amoureuse, pas de lui. J'ai trouvé ça beaucoup plus intéressant (je ne donne pas de nom pour ne pas vous spoiler, mais si ça vous est égal, n'hésitez pas à demander...)
Mais bon, si il y a une chose que j'ai apprécié dans Bangkok Traffic Love Story, c'est l'humour. Il arrive souvent quand on ne l'attend pas et j'ai bien failli m'étouffer avec ma clémentine à plusieurs reprises. Mon coup de coeur c'est vraiment la petite danse que les employés de la boîte de Mei Li exécutent en début de journée. Hilarante!
Et puis toutes les tentatives de séduction de cette dernière qui tournent au vinaigre. Sans être aussi extrêmes, je pense que tout le monde a connu l'un de ces grands moment de solitude où l'on essaie de paraître cool et assuré devant l'être convoité et que ça ne se passe pas exactement comme on le voudrait.Enfin, j'ai apprécié le thème dont je ne me lasse pas: La solitude que peut ressentir une célibataire parmi ses amies qui se marient une à une, surtout dans une société où un célibataire de plus de 25 ans est considéré comme une bizarrerie de la nature et où on le lui fait bien sentir (ce que je trouve révoltant!)
Niveau acteurs, Sirin Horwang est très jolie et plutôt touchante dans ce rôle même si elle n'a pas 30 ans et que ça se voit. Je sais bien que c'est le cinéma qui veut ça, mais j'aurais préféré une actrice plus standard, peut-être un peu ronde, pas le mannequin de service. Quant à Theeradeth Wongpuapan aka Ken (Mouahaha je ne peux pas m'empêcher de penser à Toys Story 3 ), le chéri de ces dames dans les lakorns, eh bien son charme a été inopérant sur moi. Il est certes mignon mais j'ai trouvé son personnage un peu plat et ses réactions souvent à côté, mais là c'est la faute du scénariste. Oh et j'ai adoré la famille de Mei Li!
J'en ai déjà trop dit, mais grâce à ce film j'ai aussi découvert un nouveau mode de tranport, le train aérien et omona, je veux faire un touuuuur!! Et j'ai bien aimé le clin d'oeil à Rain^^
Trailer VOSTA:
☺ Photos sur thaicinema.org
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